Moi c'est Elizabeth Alysée Edwige Nekuo mais on me surnomme Lilly parce que je n'aime pas mes prénoms. Je suis une jeune américaine de 16 ans. On me dit intelligente, joueuse, compétitrice, courageuse et insaisissable.
Je suis également ochlophobe, c'est la peur de la foule, je suis oppressée quand il y a trop de gens autour de moi et je m'évanouis. Mon don est de me rendre invisible malheureusement, il n'y a que moi que je peux rendre invisible et non mes vêtements ! Donc quand je me rends à nouveau visible, je suis nue !

Lilly, entraînant la mort de sa mère par sa naissance, très jeune fut initiée au crime par son père, riche tueur à gage de New York. Elle vécut toute son enfance dans une grande maison dans cette immense ville, son chauffeur la transportait à sa prestigieuse école qui la disait surdouée et à sa salle de sport où un prof lui donnait des cours particuliers d'arts martiaux.

Son père lui donnait également une formation de criminelle à côté, il la faisait courir et sauter sans bruits, saisir des objets après des labyrinthe de lasers invisibles, il voulait qu'elle soit sa fidèle héritière, qu'elle reprenne le flambeau. Lilly n'était pas contre, elle était même très emballée par l'idée d'être une championne dans le vol, l'assassinat et l'espionnage... que des choses interdites qui font monter l'adrénaline !

Elle s'entraîna donc dur avec son père et son prof de sport de très bonne volonté, le soir après les cours. Le week end, elle sortait avec ses amies, en primaire c'était des gentilles gamines, et dès le collège, environ en quatrième et troisième surtout, elle sortait plutôt avec des bad boys beaux goss qui étaient attirés par ses formes précoces et ses yeux en amandes. Même si elle leur donnait des airs de petite fille apeurée, elle jouait facilement avec eux.

Parfois, le soir, souvent en fait, elle imaginait sa mère lui parler et elle lui dessinait des visages, tous plus beaux et différents les uns que les autres car son père ne voulait pas lui parler d'elle ni lui montrer de photo. Il faisait comme si elle n'avait jamais existé.
Pourtant Lilly, sentait parfois son père s'effondrer de tristesse à l'intérieur, mais c'est un homme fort et fier, et il ne préfère pas montrer sa faiblesse.

Un beau jour, peu après l'entrée de Lilly au lycée général, peu après ses 16 ans, son père lui dit qu'elle allait sécher une semaine de cours pour faire sa première mission seule, qu'elle était assez préparée. Lilly allait devoir entrer discrètement dans une maison de petits bourgeois et leur voler leur porte feuille. "Un simple exercice" selon Richard, le père de Lilly. Ils s'entraînèrent donc encore une demi semaine avec le prof de sport. Et Lilly se prépara pour le grand soir. Elle était prête, elle avait enfiler une tenue noire camouflante, légère et souple. Et ce dont elle se souvient le plus, c'était l'attente. L'attente jusqu'à quatre heures du matin.

Une fois là bas, elle entra par la porte après avoir cassé la serrure d'une main d'experte malgré les gants-qui-ne-laissent-pas-de-trace-d-ADN handicapants. Elle fouilla le rez-de-chaussée, bougea un ordi Apple et son chargeur sur la table, peu encombrant et on peut le vendre cher. Comme elle ne trouva rien d'autre, elle monta doucement les escaliers menant à l'étage... lorsque ce fut le trou noir.

Elle se retrouva dans une cave avec des boîtes de conserves et un rat. Elle n'apprit que plus tard par ces charmants hôtes (c'était ironique) qu'elle servait d'échange contre plusieurs millions de dollars à son père. Elle était déjà sûre qu'il allait refuser étant donné que son père était plus attaché à l'argent que tout. Il était radin et ne voulait dépenser son argent que pour que ça lui en rapporte plus encore par la suite.

Une rencontre se fit deux semaines plus tard, ce que les malfrats n'avaient pas calculer, c'était que mon père s'y connaissait en crimes et savait que les menaces étaient du bluff. Il appela donc la police qui le savait suspect de plusieurs affaires mais qui n'avait rien contre lui et accepta donc d'envoyer une troupe l'aider à récupérer sa fille sans payer.

La police se tenait en planque tout autour du parc où Richard avait rendez-vous et attendait le signal pour tirer sur les malfrats que Richard désignera. Les deux hommes arrivaient justement avec la fille et Richard fit le signal, tous les policiers se retournèrent et tirèrent sur les deux malfrats. Mais gros manque de bol, un des policiers rata son tir et sa balle se nicha dans le coeur de Lilly, qui à peine après avoir réalisé, mourra.

La jolie fille est grande pour une femme (1,74 m) et très mince (56 kg). Elle a une grosse poitrine, un ventre plat et des hanches (mensurations 96-56-86).
Lilly aime qu'on la remarque. La nature a contribué à sa demande : comme vous l'aurez sûrement compris, la jeune fille a des formes et ça suffit déjà pour attirer le regard des hommes ! Mais pour les femmes ? Non qu'elle soit lesbienne, elle aime vraiment être le centre d'intérêt et fera tout pour. Elle va donc soigner ses très longs cheveux d'un beau blond d'été, sa couleur préféré, s'accordant totalement avec ses profonds yeux violets bordés de longs cils. La jeune fille aime s'habiller sexy et flashy pour attirer l'attention encore une fois. Souvent, elle s'habille en mini robe rouge rayée de noir.
A côté de ses vêtements vulgaires sur les bords, elle a une démarche plutôt classe, sans trop se déhancher portant des talons aiguilles sans aucune difficulté.
Pour finir, Lilly a une grande tâche de naissance dans le dos représentant étrangement une lune. On pourrait penser que c'est un tatouage tellement les contours sont précis et droits, mais non.

Lilly ne montre que peu son intelligence, la plupart du temps elle ne fait que jouer avec les autres ; mais dès qu'elle le veut vraiment, elle est très logique et a une réflexion poussée. Si elle arrive à ça c'est grâce aux cours particuliers que son père lui faisait prendre en plus du parcours d'un écolier normal. Elle fait la fille soumise un peu bête mais en vérité, elle aime manipuler les gens qui croient être au dessus d'elle et se moque d'eux, au fond. En revanche quand elle tombe amoureuse de quelqu'un, elle est très fidèle et ne manipule pas. Elle aime les hommes plein de mystère et d'élégance. Son père a fait d'elle une fille courageuse, forte et insaisissable avec ses cours.

Lilly est prétentieuse, elle se sait jolie et ça lui monte à la tête. Lilly est également très jalouse et n'aime pas trop la solitude. Elle déteste quand on la touche sans son accord, même qu'on lui prenne la main sans qu'elle le veuille, ça la répugne.  

Lilly entra dans la taverne. Elle était épuisée par sa journée de boulot et se sentait d'une humeur exécrable, c'est pourquoi elle décida de noyer ses soucis dans l'alcool. D'habitude, elle aimait pas trop ça. Mais là elle en avait marre, c'était un coup de blues qui n'était pas le bienvenue.
Elle s'assied donc au bar, à côté d'un homme à l'air baraqué qui la regardait avec envie et commanda une bière. La barman s'activa et la lui servit. Elle la but cul sec et en redemanda une autre. Il lui servit donc l'autre ; las et peu étonné. L'homme à côté d'elle lui dit :

- Et, vous devriez vous calmer, mademoiselle ! Moi c'est Reryflo, mais tu peux m'appeler Rex.

Il eut un sourire sensé être charmeur. Lilly se tourna les sourcils foncés :

- Ferme-là je t'ai rien demandé !
- Hého calme toi ! Je t'ai rien dit de méchant ! rétorqua-t-il sur la défensive.
- Sauf que j'en ai rien à battre de toi, alors laisse-moi !
- Comment tu parles à mon ami, toi ?

Un homme, encore plus musclé que "Rex" se tourna vers la jeune fille, il n'avait pas l'air commode. Mais Lilly, qui venait d'enfiler son cinquième verre à la suite était complètement soûle. Elle lui fit avec un hoquet pitoyable :

- Tu veux te... hoc battre ?! Je parle à qui je... hoc veux et comme... hoc je veux !
- C'est ce qu'on va voir !

Et l'homme qui n'était pas une commode s'approcha de Lys pour lui mettre un bon coup de poing dans le ventre qui envoya la jeune fille valser jusqu'au bout de la salle.
Cela eut pour effet de la réveiller, et en évaluant la situation, elle décida de se mettre à pleurer pour ne pas y passer.
Rex, tout triste, fit à son ami :

- Bah, laisse-là, t'as bien vu qu'elle est complètement bourrée et sans défense ! Tu devrais avoir honte de taper une fille !

L'ami, terriblement fâché (il est très susceptible), tourna les talons et sortit de l'auberge avec l'air hautain.

(Désolée, le sujet ne m'a pas trop inspirée)