Vos prénoms & noms au complet : Amy Katsune.
Sexe : [X]Femme ~ []Homme
Âge lors de la mort : 12 ans.
Nationalité : Asiatique
Description mentale en quelques mots :

GENTILLE
SAGE
SOLITAIRE
BELLE
INTELLIGENTE
TIMIDE
Phobie(s) :  Je n’en n’avais pas jusqu’à ce que j’arrive sur Lyadell, maintenant, j’espère ne jamais aller en enfer.
Don (explications des malus s'il y en a) : J’ai le don du soleil, le problème est que … je ne sais pas très bien le manipuler, ça m’arrive de … tuer des gens.

J’habitais dans un château, un immense château. Je faisais quelques fois de petites sorties pour m’aider à dormir, mais ma vie restait tranquille. J’ignorais, jusqu’ici, qu’on pouvait mourir. A vrai dire, mes parents m’avaient tellement « chouchoutée »  que j’ignorais le mal.  J’étais fille unique, mes parents étaient roi et reine de Leïlantse, pays un peu difficile à prononcer mais le plus beau que l’on est jamais vu. Un jour, j’aurais dû reprendre le flambeau. Je suis devenue reine, voilà comment ça c’est passé :  Je dormais dans mon lit,  je rêvais, si seulement tout ça n’était qu’un mauvais rêve, si seulement je pouvais me réveiller, marcher dans le couloir froid et puis croiser mes parents, leur dire bonjour. Malheureusement, c’est impossible.  Donc, je dormais quand j’ai entendu une explosion . Bien sûr, ça m’a réveillée. Je suis donc sortie de ma chambre, j’ai traversé le couloir froid, jusque là, rien d’anormal. Sauf que lorsque je suis rentrée dans la salle, j’ai vu les cadavres de mes parents qui s’étaient suicidés. Une lettre royale était posée sur la table. Je l’ai lu, les larmes coulants sur mes joues froides : le roi et la reine de Leïlantse vous remettent le pouvoir du pays et le trône royal. Vous êtes désormais la Reine Amy Katsune de Leïlantse.  J’étais boulversée, je pensais que mes parents étaient juste endormis, combien de fois les-ai-je enlacés pour les ramener à la vie ? Malheureusement, la vérité éclata :  toutes les choses ont une fin, même moi. Il était donc de mon devoir de diriger Leïlantse  comme je le pouvais, car je n’avais que 10 ans, et à 10 ans, on ne pense pas vraiment à grandir. Je me disais que j’aurais toute la vie devant moi, que je ne vivrais pas aussi brèvement que mes parents et que, peut-être, je serais épargnée…  Un ans passa, à très grande vitesse. Je ne me débrouillais pas si mal que ça, même si j’avoue que Leïlantse est une terre paisible où il n’y a jamais rien à y faire que de se reposer. Une guerre éclata. Le Japon voulait récupérer ses terres, anciennes terres pardon. C’est surtout que je n’avais pas d’armée. Aucun soldat n’habite sur Leïlantse à part un vieux général à la retraite. Les soldats sont donc arrivés au château, j’étais pas vraiment motivée pour tuer des gens donc je me suis roulée en boule sur mon lit. Un soldat est entré subitement dans ma chambre, j’ai posé mes mains sur mes yeux pour éviter qu’il ne me tue. Lors de ce geste, de la poussière de soleil est sortie de mes mains, ce qui a brûlé le soldat. Un cadavre sur mon lit ! Je suis sortie de ma chambre et là ! je me suis pris une balle dans le cœur. Désormais, mon royaume est celui du Japon.

J’ai de longs cheveux blonds comme le soleil, des yeux bleus comme le ciel, ma peau est assez claire, comme tous les chinois sauf que je ne suis pas chinoise de base. Je suis normale quand on parle du poids, je suis plutôt timide et je m’habille toujours avec de belles robes. Je n’ai menti qu’une fois dans toute ma vie et c’était parce que le jardinier avait coupé la fleur de ma mère. Je lui ai donc dit que c’était moi mais mes doigts m’ont joué un tour : je claque des doigts quand je stresse. Je marche en sautillant quand je suis heureuse. A chaque fois que je vois de nouvelles têtes, je me méfie beaucoup. Ah ! j’oubliais. J’ai fait un tatouage à l’âge de 5 ans pour montrer ma fidélité à Leïlantse et pour prêter serment de ne jamais quitter mon pays. Je n’ai pas du tout l’air menaçante, à moins que … je n’en sais rien.  Oh ! j’oubliais ! Décidément …  Mon pourvoir donne une couleur rouge à mes cheveux lorsque je l’utilise.

Je n’ai jamais eu d’amis, je suis toujours restée seule, solitaire. Je suis assez calme, sage. Sans me vanter, je suis assez belle ! Même si j’étais une princesse, je n’aimais pas que mes parents me gâtent. J’étais tellement protégée par mes parents que …  je pensais que ma vie était parfaite. Pour moi, j’étais parfaite : gentille, belle, intelligente, parfaite quoi ! Le seul problème c’est que je suis morte trop tôt : jamais connu la vérité ! Enfin, si, à la mort de mes parents, mais je ne les aimais pas tellement… ils étaient… bizarres ! A vrai dire, dans ma tête, mes parents étaient comme des… ils étaient invisibles. Je laisse aussi beaucoup de suppositions quand je parle (je pense que vous l’avez remarqué !). Je suis peut-être déficiente mentalement ? Excusez-moi, je n’ai pas eu vraiment le temps de me poser ces questions avant ma mort. Je me croyais dans un monde tout-fait, sans aucun bémol. Bref, la meilleure façon de me connaître est de me rencontrer. Je ne me connais pas assez, en vérité. Oh non ! Je crois que… on dirait que, oh non ! c’est pas possible.

J’ai dû au moins marcher un kilomètre avant de passer les portes de cette ville. Mes chaussures blanches étaient devenues de salles chaussons marrons.  J’avais extrêmement soif alors je suis rentré dans cette taverne, c’était la première chose que j’ai vu de … convenable. Je suis donc rentrer dans cette taverne et j’ai poser mon coude sur le comptoir. J’ai alors crié : Un demi, et que ça saute ! Biensur, le serveur et les autres m’ont dévisager parce que je n’ai que 12 ans. Le serveur ne savait évidemment pas que je voulais un verre de lait. Je lui ai donc chuchoter : C’est du lait. Je dégustais mon lait quand j’ai tout recraché sur une fille de mon âge. Ce lait était immonde ( comme cette fille ) ! Elle, pas contente du tout,  m’a provoquer en duel. Je ne pouvais pas taper une fille, donc j’ai proposer un bras de fer chinois. J’étais très habile du pouce. Donc nous avons préparer une table. Simultanément, on a posé notre coude sur la table :  ses ongles me dégoutaient !
« Un, deux, trois, bras de fer chinois ! »  Je tournais mon pouce avec beaucoup de mal, elle était très forte. Puis soudainement ! elle s’écria :  Place à la baston, c’est des trucs de mauviettes ça ! Elle essaya de casser une bouteille sur ma tête, mais j’ai esquivé. Je voulais lui mettre un coup de poing dans le ventre mais elle en a profité pour me donner un coup de poing dans la joue. Je saignais … quand un garçon est venu planter un couteau dans la jambe de la fille. Douloureux mais efficace ! Je lui ai donc offert un verre et je lui ai donc expliquer que j’étais  une princesse,  que j’étais solitaire, et que j’étais gentille (oui, je me suis vantée devant ce garçon) . Il m’a donc répondu : Mais tu ne sais pas te battre ! Je lui ai crié : JE SUIS UNE PRINCESSE !! Il m’a embrassé pour que je me taise ! Vous vous rendez compte ! Je suis alors repartie au château, je me suis glissée dans mon lit et je me suis assoupie. Quelle journée ! Oui, ça m’arrive de faire des petites sorties pour m’aider à dormir.