Vos prénoms & noms au complet : Alissa Karakjen
Surnom(s) & pourquoi ce(s) surnom(s) ? : Princesse d'Onyxine
Sexe : [X]Femme ~ []Homme
Âge lors de la mort : 17ans
Nationalité : Royaume d'Onyxine, en Orasyllia
Description mentale en quelques mots :

Courageuse
Bornée
Susceptible
Orgueilleuse
Manipulatrice
Gentille (malgré tout)
Phobie(s) : Claustrophobie
Don (explications des malus s'il y en a) : Télékinésie. (Les objets portés me demandent de l'énergie. Un objet trop lourd ou porté trop longtemps pourrait puiser tellement d'énergie en moi que je pourrais m'évanouir voire en mourir.)

HISTOIRE : (minimum de 20 lignes = 300 mots)

Je viens d'un continent appelé Orasyllia. Dans ma plus tendre enfance j'ai été arrachée a ma famille de riches propriétaires terriens par de pirates. Tout ce qu'il me restait de mes parents c'était un nom : Karakjen, et une épée. Mes ravisseurs devinrent ma nouvelle famille, ils m'apprirent les rudiments de la survie, la maîtrise de l'épée et la manipulation. A l'âge de huit ans, ils m'abandonnèrent sur une île nommée Synia, dans une ville portuaire, Port-Sinoï, après y avoir fait escale pour y vendre leurs butins avec, en guise d'au revoir : Ne jamais révéler mon nom et ne faire confiance à personne. C'est dans cette ville que je passai huit années de ma vie. Seule. Avec pour seule compagnie mon épée.
En grandissant je me suis rendu compte que les gens de cette ville me craignaient, pourtant je n'était qu'une enfant à la rue. Ils m'évitaient, me regardaient avec terreur. Peu après le jour de mes seize ans, alors que je volais, comme a mon habitude, sur les étals du marché, je fut suivie par un jeune homme. Après avoir essayé de le fuir, je le prit au dépourvu en le coinçant lui-même entre le fond d'une impasse et ma lame. C'est ainsi que je rencontrai Joan, l'apprenti d'un forgeron. Il me cherchait car son maître voulait inspecter mon épée. Bizarrement touchée, - c'était la première fois qu'une personne me parlait sans peur depuis des lustres - j'acceptai. C'est alors que ma vie prit un tournant décisif. Le Maître-Forgeron, m'apprit que mon épée était unique, qu'elle avait été forgée il y a des siècles pour le prince d'un royaume désormais disparu : Le Royaume d'Onyxine. Il sut alors qui j'était : La descendante directe de la dynastie Karakjen, la Princesse d'Onyxine. Chose dont j'ignorais absolument tout, tout comme le fait que mon épée s'appelait Aurore et faisait parti des trois épée légendaires d'Onyxine : Le Cycle de la Nuit - Crépuscule, Nocturne et Aurore.
Le soir même, nous nous fîmes attaquer par des mercenaires aux pouvoirs étranges, ils s'appelaient les Dragons, ils me cherchaient. Joan m'aida a m'enfuir jusqu'au port, dans lequel nous volâmes un petit bateau de pêche avant de prendre la mer.
C'est alors que notre voyage commença, nous cherchions d'abord des provisions et une carte, nous nous sommes rendus sur le continent dans la province la plus proche, Septentrys. Nous rencontrâmes Körg, un Guerrier Nordiques qui se joint à nous pour vaincre la guerre civile qui avait éclaté dans ces terres. Après cela nous avons voyagé a travers tout les territoires d'Orasyllia, d'autres amis se sont joint a nous tels que Mia, Une fée du Royaume de Kanya, Amelia, une Dragonne alchimiste qui nous aida a vaincre son clan, Nhylia, la fille d'un puissant Héros des Terres d'Emeraude et bien d'autres.. Malheureusement, quand nous sommes arrivés là où se trouvait le royaume d'Onyxine, la majeure partie de nos alliés avait déjà péri.
Malgré cela, nous parvînmes à reconquérir ces terres hostiles et à refonder le royaume. Un an plus tard, alors que le royaume d'Onyxine renaissait de ses cendres, je fut assassinée sur mon trône. Je ne sais pas par qui, je ne le saurais jamais. Juste une lame dans le dos qui me transperça le cœur.

PHYSIQUE : (minimum de 10 lignes = 150 mots, doit correspondre à votre avatar)
Je suis une jolie -sans me vanter- jeune fille avec de longs cheveux noirs et de grands yeux bleus. Je suis très pâle de peau. Je ressemble à une adolescente très timide et asociale,  même avec mon assurance intérieure, je fuis le regard des gens. Malgré tout, je procure de la crainte voire de la peur chez certaine personne. Je n'ai jamais su pourquoi. La plupart des filles de mon age son jalouse de moi, de mon physique, de ma capacité a attirer les garçons. Bien qu'ils ne m’intéressent pas. Ces derniers sont de vrais pot de colles du moment ou je les regardes. En tout cas, de mon vivant, c'était le cas. Maintenant ...
Vestimentairement, j'aime beaucoup le noir, les robes noires, de longues capes en fourrures noires comme quand j'était encore en vie et princesse d'Onyxine. Mais lorsque je pars à l'aventure je favorise l'armure légère, en cuir clouté. Noire de préférence.

CARACTÈRE : (minimum de 10 lignes = 150 mots)

Tout d'abord, je suis courageuse : j'aime l'aventure, je n'ai pas peur de la mort. Les aventures que j'ai vécues sur le continent d'Orasyllia ont fait de moi une battante.
On vous le dira souvent : je suis têtue. Si l'on écoutais que moi, je n'ai pas souvent tort, voire jamais.
Je suis aussi très susceptible, j'ai passé la moitié de ma vie sans parler à qui que se soit, je ne comprends pas vraiment le principe de l'autodérision.
Mon manque de contact humain et mon sang bleu m'ont rendu orgueilleuse, non pas que je prends les gens pour mes sujets, non .. Mais ils devraient, eux me prendre pour leur princesse !
Les pirates qui m'ont éduquée, m'ont appris l'art de la manipulation, j'aime monter des personne contre d'autres ou au contraire les reconcillier.
Car oui, j'ai, avant tout, un grand coeur, je suis toujours là pour aider les personnes que j'apprécie.

TEST RP : (minimum de 20 lignes = 300 mots)
       Comme une importante brume sur la surface de l'océan, l’intérieur de cet endroit était une purée de pois. Une épaisse fumée blanche et malodorante remplaçait l'air. On ne voyait les tables que grâce au points de lumière les ornant, sûrement des bougies. Alissa réussit tout de même à trouver le comptoir et s'y installa.
- Salut ma p'tite, qu'est-ce que j'te sers ? demanda Kouda, le patron, avec un accent très prononcé.
- Une bière, s'il vous plaît.
- Très bien, m'zelle. Et voilà, ça vous fera deux Oseilles.
Ses yeux habitués à la fumée, elle distinguait maintenant que le tavernier était un homme rond, au visage rouge et transpirant exhibant une importante moustache rousse dans laquelle était coincées des miettes de pain.
Il faisait désormais nuit et trois hommes en armure blanche marchaient sur un sentier. Ils patrouillaient, l'un d'eux avait un glaive et une torche, les deux autres portaient une lance chacun. Sur leur cuirasse était gravé un grand L en or. C'étaient des gardes de Lancyl. Ils cherchaient un endroit où dormir, une auberge, un gîte ou même un dortoir. Ils n'avaient vraiment pas envie de passer la nuit dehors. Ils arrivèrent au niveau d'une petite maison surplombant la ville. "Le Bar à Kouda", en lisant cet écriteau, un des gardes avec la lance se tordit de rire avant de voir que ses compagnons ne trouvaient pas ça drôle. Il se calma et dit :
- Bon, les gars, on y va ?
- Ouais, j'ai soif. Répondit l'autre lancier
- Puis il faut dormir. Ajouta celui qui portait le glaive.
Il éteignit la torche et la déposa devant l'auberge, puis un des lanciers poussa la porte. Le troisième hurla :
- Salut les bouseux ! Faites place à la garde !
- La ferme, Pery, laisse ces braves gens boire dans leur.. brouillard.
Ils s'assirent au comptoir. Commandèrent trois bouteilles de rhum et demandèrent une chambre pour la nuit.
- Oui bien sur, acquiesça Kouda, il m'en reste une justem... ( Il lança un regard à Alissa qui le fixait de ses grand yeux bleus ) Ah, non, j'suis désolé m'sieurs, ma dernière chambre vient d'être prise par cette jeune fille au cheveux noirs.
- Mais vous alliez dire que vous en aviez une ! protesta l'un des hommes en armure
- Oui car il m'en restait une mais cette femme vient de la réserver.
Pery se leva, en colère, il s'approcha d'Alissa.
- Pour qui tu te prends, étrangère ?
Elle ne réagit pas. Elle commanda une autre bière, sa troisième.
- Oh, ivrogne, je te cause ! s’énerva Pery
Alissa se contenta de hocher la tête. Pery la bouscula, elle ne broncha pas. quatrième bière. Pery hurla de toute ses forces et renversa la bière qui venait d'être servie a la jeune fille. Cette derniere tourna la tête vers Pery qui fut parcouru d'un frisson en apercevant la profondeur de son regard saphir. Soudain, elle, dans un élan de rapidité, mis un coup de pied dans la cuirasse de Pery, se leva et sortit l'épée rouillée qu'elle avait achetée au forgeron dans la journée.
- Qui êtes vous pour oser déranger une Princesse, misérables !
- Une princesse ? Toi ? Allez gamine, range ça, tu vas te faire mal !
       Elle s'aperçut que les trois gardes étaient face à elle. Le premier avec le glaive, lança la première offensive. Elle réussit à esquiver deux coup (bien trop courts) puis porta le sien, sa lame décrivit un demi cercle et s'enfonça dans le flanc gauche de son adversaire, tranchant ses chairs. Elle retira sa lame, en voyant un coup de lance arriver. Elle fut projeter sur le sol par la force du coup. L'homme au glaive était au sol, il se vidait de son sang en hurlant à la mort, les deux autres hommes encore valides et Alissa se battaient sans relâche, les coups s'échangeaient, les parades et esquivent se multipliait. Le garde, à terre, continuer de hurler d'agonie. La jeune fille profita d'une attaque lente d'un des lanciers pour l'esquiver rapidement puis planter sa lame dans l'armure de cet assaillant qui était bien trop épaisse. L'épée se brisa. Alissa était effrayée, elle était désarmée et se retrouvait contre deux gardes bien plus puissants qu'elle. Elle s'agenouilla pour s'avouer vaincu quand elle eu un terrible mal de crâne, le même qu'à la bibliothèque. Soudain l'armure du lancier se resserra sur lui-même, comme sous l'étreinte d'une puissance invisible. On entendit se côtes se briser et il tombe, raide. Mort. Ne restait plus que Pery qui avait jeté sa lance au sol pour sortir son glaive, bien plus rapide. Mais il n'eut le temps de s'en servir que Kouda était déjà derrière lui pour lui donner un coup de tabouret derrière la nuque. Un craquement. Pery se raidit, lâcha son arme, il ne pouvait plus bouger, puis il sentit son cerveau se geler,  il entendit un bourdonnement sourd, indéfinissable, dont l'intensité augmentait dans son crâne, il n'entendit bientôt plus que ce bruit étrange lui meurtrir l'esprit, attaquer directement son âme et le faire terriblement souffrir, puis plus rien. Du sang sortit de son nez, de sa bouche, de ses oreilles et de ses yeux. Il tomba, mort.
Le premier garde gémissait toujours, par compassion - ou cruauté - Alissa l'acheva en lui tranchant la gorge. Elle fouilla leurs affaires, vola leurs bourses et en lança une a Kouda.
- Tiens, c'est pour la chambre et te remercier pour... tout ça. Bonne nuit !
Elle était a bout de force. Elle pensait que ce "don" allait la tuer. Elle s'effondra sur son lit et dormi jusqu'au matin.